Lancement à Shanghai de l'assurance au profit des enfant uniques

Le projet d'assurance au profit des enfants uniques de la Municipalité de Shanghai – un genre d'assurance commerciale non obligatoire encouragée par le gouvernement – vient d'être lancé officiellement le 9 courant à Shanghai de façon générale, apprend-on de l'Agence China News. La Chine a commencé a lancé la politique du planning familial à travers tout le pays à la fin des années 70 du siècle dernier et depuis ce temps-là dans les conditions normales, pour les habitants urbains du pays, il est prescrit qu'un couple d'époux et d'épouse ne peut engendrer qu'un seul enfant. En réalité à Shanghai, il a été commencé à appliquer la politique de planning familial déjà depuis les années 50 du 20ème siècle, ce qui fait que cette politique a été appliquée dans cette grande métropole il y a déjà plus d'un demi siècle. A l'heure actuelle en Chine, la famille à enfant unique est devenue le principal modèle structurel des familles urbaines chinoises. A Shanghai, le nombre des familles qui ont reçu le certificat enfant unique a atteint les sept cent mille.Des experts en la matière indiquent que l'application du projet d'assurance au profit des enfants uniques vise à établir un système efficace de garantie et de protection familiale et à diminuer autant que possible les risques des familles qui auraient accepté d'appliquer le planning en question.On apprend que le projet en question vise à assurer principalement les enfants uniques de trente jours jusqu'à seize ans dont les parents sont portés au registre d'état civil de la Municipalité de Shanghai ou qui détiennent la « carte de résidence de Shanghai » et qui ont déjà reçu le certificat d'enfant unique. Les frais d'assurance sont seulement de 60 yuans renminbi pour toute une année, y est couvert la responsabilité d'assurance des enfants uniques décédés de maladies, décédées de cas et d'accidents imprévus, ainsi que de leurs soins médicaux et de maladies graves. L'assurance maximum dépasse 60.000 yuans renminbi.
Source: le Quotidien du Peuple en ligne