dimanche 30 août 2009
Nous voici de retour
Nous sommes rentrés ce matin de notre petite semaine de vacances dans le Sud de la France. Ce fut une semaine très sympa, trop courte bien sûr. Nous avons pu assister aux tournois de joute de Sète, nous avons remonter une partie du canal du midi en bateau et fait du canoé dans les gorges de l'hérault. Tout ça sous 31°C, le bonheur. La méditerranée est vraiment une belle mer et nous avons beaucoup apprécié la région du languedoc roussillon. Nous avons ainsi découvert Pézenas, la ville de Molière, Sète la ville de Brassens et aussi un des plus beaux villages de France, saint Guilhem le Désert. Si vous passez par là, n'hésitez pas à faire le détour.
Je vous mettrai quelques photos plus tard. Je serai bien restée au semaine de plus dans le sud. Ici c'est déjà l'hiver il fait 20 ° et perdre 10 °C en 1 journée c'est pas facile
Mais demain, c'est le retour au boulot. Et là même si j'aime bien mon job et mes super collègues, c'est quand même pas la joie.
Je ne me suis pas vraiment connectée à ce qui s'est passé pendant la semaine mais j'ai cru comprendre que la date de coupure était bien arrêtée au 24 mars. Félicitations à tous les nouveaux parents.
jeudi 20 août 2009
le 24 se confirme
Toujours pas de confirmation officielle du CCAA d'une date de coupure au 24 mars. Mais l'AFAC confirme cette date et il ne se trompent pas souvent. Les téléphones vont sonner bientot. Félicitations à tous les nouveaux parents.
Je vous laisse quelques jours. Bon courage pour ceux qui reprendront le boulot lundi.
lundi 17 août 2009
1ères rumeurs
jeudi 13 août 2009
La Chine va célébrer le 140e anniversaire de la "découverte" du panda... par un Français
La Chine va retracer l'aventure du missionnaire français, qui, il y a 140 ans, avait été le premier occidental à voir un panda, permettant au reste du monde de découvrir l'animal.
Les pandas étaient inconnus hors de Chine, lorsqu'en 1869, lors d'une mission au Sichuan (sud-ouest), le père Jean-Pierre Armand David, de la congrégation des lazaristes, avait pu voir un spécimen tué par des chasseurs.
Les amoureux du panda géant pourront emprunter un parcours de 350 km, depuis Chengdu à Ya'an sur les traces du missionnaire naturaliste, a expliqué un responsable de l'agence touristique local.
Le groupe partira le 15 août et devrait arriver à la réserve de pandas géants de Ya'an dix jours plus tard.
C'est dans cette réserve qu'ont été déplacés les pandas géants qui vivaient dans celle de Wolong, actuellement en reconstruction après avoir été partiellement détruite l'année dernière lors du séisme.
Après avoir failli disparaître dans les années 80, les pandas font l'objet en Chine d'un programme de préservation avec des réserves pour protéger ceux qui vivent à l'état sauvage et des élevages en captivité pour des réintroductions à terme dans la nature.
Près de 1.600 pandas géants vivent dans la nature en Chine et 180 sont élevés en captivité.
Le CCAA ferait les attributions
mercredi 12 août 2009
Livres sur l'adopton
- Parents de coeur : Comprendre l'enfant adopté (Poche) de Sherrie Elridge (Auteur),
- Enfants délaissés, adoptions tardives en France et en Europe (Broché) de Claire Gore (Auteur)
lundi 10 août 2009
31 mois de LID
samedi 8 août 2009
Premières rumeurs
mercredi 5 août 2009
Le plus grand Ikea de Chine en construction à Pékin
Le plus grand Ikea de Chine est actuellement en construction dans la banlieue de Pékin.Situé près du quatrième périphérique, à Daxing, il sera également lié au centre de la capitale par le métro, lui aussi en construction. La chaîne suédoise a investi 300 millions d'euros dans ce nouveau magasin, le 8ème en Chine à ce jour.Avec une surface de 3000 mètres carrés, il sera le plus grand Ikea de Chine, sans atteindre toutefois la taille de celui de Stockolm, le plus grand au monde. La chaîne suédoise qui possède 240 magasins dans 34 pays du monde a ouvert son premier magasin en Chine en 1998. D'après une enquête réalisée par Sina.com, le plus grand site d'information en Chine est une réussite. D'après les clients interrogés, l'avantage d'IKEA réside dans ses produits de bonne qualité, à un prix « plutôt raisonnable », contrairement à la stratégie d'autres groupes chinois qui préfèrent monter les prix pour les « solder ».
Même autorisés, les parents n'envisagent pas systématiquement un second enfant en Chine
le 4/8/2009 à 12h31 par AFP
Face au vieillissement de la population, la Chine est encouragée à réviser progressivement sa politique de l'enfant unique mais des résistances s'observent dans la société. Persistance des moeurs, coût... autant d'obstacles qui font hésiter les parents face au second enfant.
A 31 ans, Lu Ming aurait bien un second enfant. Elle y a droit, elle est même encouragée désormais à avoir ce deuxième bébé, mais elle hésite, pas sure d'en avoir les moyens financiers.
Cette jeune femme, infirmière à Shanghai, fait partie des couples exemptés de la règle de l'enfant unique en vigueur en Chine depuis la fin des années 70: elle et son mari sont tous deux enfants uniques et sur eux seuls repose le poids des parents et grands-parents, dans un pays où le système de retraite et de sécurité sociale laisse toujours à désirer.
La semaine dernière, en première page du China Daily, la directrice du planning familial de Shanghaï, Xie Lingli "recommandait" aux couples qualifiés "d'avoir deux enfants car cette méthode pourrait aider à réduire la proportion des personnes âgées (dans la population) et à prévenir une future pénurie de main-d'oeuvre".
Quelques jours après cet appel dans les colonnes du quotidien officiel en anglais, elle précisait néanmoins, selon l'agence Chine Nouvelle que la municipalité de Shanghai n'avait pas l'intention de s'éloigner de la politique officielle en matière de contrôle des naissances, en vigueur depuis 3 décennies.
Dans cette succession de déclarations, Wang Feng, professeur de sociologie à l'Université de Californie d'Irvine, voit le reflet de la lutte entre les démographes, inquiets du vieillissement de la population et les stricts partisans du maintien du contrôle.
"La tempête médiatique montre que le vent a tourné et il était temps", dit Wang.
"La Chine est face à une décision monumentale: que faire d'une politique prise comme une mesure d'urgence et qui ne devait rester en place que sur une génération ?", ajoute-t-il.
Quelle que soit l'issue, le déclin de la population est inévitable après plus de quinze ans de taux de natalité inférieurs au seuil de renouvellement de 2,1, selon lui.
Surtout que les jeunes gens éduqués en Chine, aujourd'hui, comme en Europe de l'ouest, tendent à avoir de moins en moins d'enfants."Tout le monde ne peut pas financièrement se permettre d'avoir un second enfant. Il faut envisager tout ce que cela coûte d'élever un enfant, sinon c'est irresponsable", explique Lu Ming.
Wang Feng tire la sonnette d'alarme: "la Chine doit vite prendre conscience de la crise démographique actuelle pour l'empêcher de s'accroître".
Comme à Shanghai, où l'encouragement public à avoir un second enfant vise selon lui à contrer la propagande ancrée dans les esprits de l'enfant unique.
"Le deuxième enfant est souvent perçu comme un signe d'arriération, qui ne contribue pas au but officiel de contrôle de la population", explique-t-il.
Une responsable d'un bureau local de planning familial à Shanghai affirme que les couples qualifiés sont encouragés à avoir le deuxième enfant depuis que les exemptions ont été décrétées il y a cinq ans.
Selon cette responsable, qui a requis l'anonymat, les futurs mariés se voient ainsi systématiquement interrogés sur leur environnement familial pour déterminer s'ils font partie des exceptions à la règle de l'enfant unique.
C'est le cas si l'un des deux est handicapé, si l'un est pêcheur en mer pendant cinq ans, ou enfant unique issu d'une famille rurale.
Mais alors qu'elle câline son petit-fils dans un parc de Shanghai, Huang Yuanxiang 51 ans en revient au noeud du problème : le financement des bonnes écoles, des activités extra-scolaires et de tout ce qu'il faut aujourd'hui à un enfant.
"Dans ma génération personne n'était riche et rien ne coûtait très cher. Ca
mardi 4 août 2009
Toujours plus de garçons que de filles en Chine
Une nouvelle étude, menée par plusieurs universités, montre que le déséquilibre des sexes en Chine reste très important et qu'il menace l'avenir du pays.
La Chine comptait en 2005 un excédent de plus de 32 millions de garçons de moins de 20 ans par rapport à la population féminine du même âge, selon une étude publiée sur le site du British Medical Journal (BMJ).
La Chine a enregistré en 2005 un excédent de plus de 1,1 million de naissances masculines. Les chercheurs de l'université Zhejiang (Chine) et de l'University College de Londres y voient la conséquence des avortements sélectifs visant les foetus de sexe féminin, liés à la politique de limitation des naissances.
Cet écart va conduire à un déséquilibre croissant dans la population en âge de procréer pendant les deux prochaines décennies, mettent-ils en garde. Renforcer l'interdiction des avortements sélectifs pourrait contribuer à rééquilibrer le rapport hommes/femmes, estiment-ils.
Plus de 4,7 millions d'individus de moins de 20 ans (dont 60% de ruraux) ont été inclus dans l'enquête, représentant 1% de la population chinoise. Il naît en général entre 103 et 107 garçons pour 100 filles.
L'enquête montre un déséquilibre garçons/filles pour toutes les tranches d'âge (sauf les urbains entre 15 et 19 ans). Il culmine à 124 naissances mâles pour 100 naissances féminines dans le groupe des 1-4 ans.
Seules deux provinces (Tibet et Xinjiang) sont dans une situation normale pour cette tranche d'âge, tandis que le Jiangxi et le Henan ont des ratios supérieurs à 140.
Ce ratio garçons/filles pour le deuxième enfant en zone rurale est en moyenne de 143, allant jusqu'à 192 dans le Jiangsu.
Le gouvernement chinois a pris une série de mesures en vue de lutter contre ce déséquilibre, comme des campagnes pour l'égalité des sexes, qui ont eu un certain impact, soulignent les chercheurs.
Ils relèvent que le ratio garçons/filles à la naissance n'a pas augmenté entre 2000 et 2005. En outre il est normal pour les premières naissances dans de nombreuses zones urbaines. Deux éléments qui montrent que le déséquilibre pourrait diminuer dans un avenir prévisible.
"De façon encourageante, il semble que la tradition qui consistait à préférer des fils évolue avec les changements socio-économiques liés à l'urbanisation et l'industrialisation", écrivent les Pr Tao Liu et Xing-yi Zhang (université de Jilin) dans un éditorial publié dans le BMJ.
Et le bonheur est entré dans notre maison le 20 Octobre 2009 avec l'arrivée d'Emilie